

Souvent mêmes rêves reviennent à celuicelle qui n’a pas compris
Et qui se repasse le sketch en boucle de façon contiguë
Jusqu’à ce qu’enfin ilelle parvienne à décider sans parti pris
Son chemin tissé dans du stretch bien arrondi aux angles aigües.
Le gros chat-chagrin du matin avec le désespoir du soir
Planent comme un nuage lourd qui lela menace trivialement
Tandis que, des draps de satin, s’approche l’ange qui va surseoir
Au choix pertinent ou balourd mais qui est le bon, finalement.
Tableaux de Rafal Olbinski.
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