
L’amère indienne lorsqu’elle est jeune perturbe les amérindiens
Par ses tenues élaborées spécialement pour l’aventure.
La mère indienne quand elle est jaune sous les feux de l’été indien
A connu l’amour arboré sur les claies en pleine nature.
L’amérindienne de mes rêves se baignait nue dans la rivière
Où j’étais venu m’abreuver en silence à pas de velours.
Elle m’a rejoint sur la grève, m’a façonné une civière
Et m’a fait passer mon brevet de secouriste de l’amour.
Elle a caressé mon tipi qui s’est dressé comme une tente
En l’élevant comme il se doit au cœur de sa grotte profonde.
Lors j’ai vu en chromotypie ce qui lui plaît et qui la tente
Lorsque j’ai attouché du doigt sa partie intime et féconde.
Illustration de Derib.
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