
Faire l’amour à la lecture reste un plaisir inassouvi
Et j’aime glisser entre les pages un œil en quête d’érotisme
Afin de tenter l’aventure avec l’héroïne ravie
De mon amour qui se propage vers le summum du pathétisme.
Lorsque le conte est terminé, j’en rêve ses prolongations
Que je retranscris langoureux si jamais mes draps s’en souviennent.
Si ces contes sont déterminés à doper la fécondation,
Je les conseille aux amoureux pour que natalité advienne.
Si faciles à imaginer ; il suffit juste d’une image
Pour déclencher la libido du fond du cerveau reptilien.
Et l’hippocampe s’invaginer de mémoires plus ou moins sages
Qui se cachent derrière le rideau de mon esprit machiavélien.
Tableau de Vladimir Kush.
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