
Partout je me suis éparpillée dans les espaces parcourus
Pour jeter un œil au-delà de l’horizon de mes limites.
Ma tête s’est déshabillée et sur la Lune a discouru
Tandis que l’âme « a capella » chantait pour devenir ermite.
Mon corps, un temps, a côtoyé le fleuve des morts vers l’enfer
Mais il n’a pas su s’adapter et s’est prononcé à l’encontre.
L’esprit trop instruit s’est noyé dans la science des transferts ;
Seul le cœur a su adopter tout le bienfait de ces rencontres.
Illustration de Qingyi33.
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