L’aube de la féminité

L’aube de la féminité

Les nuits sont paraît-il enceintes et nul ne connaîtra le jour
Qui naîtra demain des amours du Soleil amant de la Terre
Dont l’intimité sacro-sainte à l’aube enfantera toujours
Les merveilleux fruits du labour pour son offrande alimentaire.

Ainsi quand deux soleils se lèvent comme nimbés d’une auréole,
Dans une aurore qui frissonne après l’amour d’une nuit blanche,
C’est la femme qui prend la relève par l’éclat de ses aréoles,
Sa peau de pèche qui hérissonne et son bassin qui se déhanche.

(Tableau de Vladimir Karnachev.
« Les nuits sont enceintes et nul ne connaît le jour qui naîtra. », proverbe ottoman.)

Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.

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