

Novembre restreint sa lumière d’un rideau de brume laiteux
Et nous peint ses natures mortes sous un gesso de gelée blanche.
Et moi, je rêve dans ma chaumière d’arbres aux parfums velouteux
Que le vent du matin transporte tandis qu’il dénude leurs branches.
Novembre obscurcit les étangs de l’encre noire de l’automne
Et ragaillardit les oiseaux sur l’eau dormante des marais.
Et moi, j’écris en reflétant mes pensées tristes et monotones
Entre les chênes et les roseaux dans des couleurs bleues chamarrées.
Tableaux d’Iris Scott sur https:www.irisscottfineart.comlandscapes .
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