
Qu’il est long ton serpent, papa, présumé plein de connaissances !
Qu’il est perfide ton chemin supposé assainir le monde !
Qu’ils sont hypocrites les pas censés marcher avec aisance !
Qu’elle paraît sournoise la main qui nous guide de manière immonde.
Qu’elles restent vaines tes promesses qui devaient tout améliorer !
Qu’il est indélicat ton plan qui nous prive de libertés!
Qu’elle est trompeuse ta grand-messe où l’espoir est détérioré
Par l’assurance d’un implant qui nous rendra déconcertés.
Tableau d’Anderson Debernardi.
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