


Parlez-moi plutôt de la pluie que des étés caniculaires
Car le soleil brûle ma peau qui transpire au point d’en rouiller.
J’aime avec ou sans parapluie aller me rincer l’oculaire
Avec des formes, bien à propos, ressortant des robes mouillées.
Jolis bassins et popotins, fesses qui dansotent en cadence
Et qui, plus l’averse redouble, tressautent encore de plus belle.
Je l’avoue, j’ai l’œil diablotin mais le cœur en correspondance
Avec la grâce qui me trouble des corps trempés sous les ombrelles.
Tableaux de Laura Lee Zanghetti et Andre Kohn.
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