
Et si Dieu avait inspiré l’être humain à se rapprocher
En élevant son habitat au plus près du septième ciel ?
Et si l’homme avait conspiré contre l’idée de s’accrocher
De peur qu’Il ne cohabitât dans ses quartiers résidentiels ?
Autant de tours, autant de langues, autant de projets échoués ;
Autant de brouilles et de discordes, autant de peines et de frictions.
Autant de novlangues et virelangues, langues de bois inavouées
Afin que jamais l’on ne s’accorde à voir dans la même direction.
Tableaux de Minoru Nomata.
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