

Sans la fête de la musique, sonne la Rhapsody in blues
D’un été un peu trop timide qui n’ose chasser le printemps.
Le piano devient amnésique d’une composition jalouse
Entre des notes un peu humides qui dégoulinent en suintant.
Mignonne, allons voir si s’arrosent les caprices et les tourmentes
Qui nous agitent les saisons d’une planète en confusion !
Or si le printemps fut morose, l’été de façon alarmante
Bat du tonnerre sans raison avec des pluies à profusion.
Tableaux de Duy Huynh.
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