
Dans mes nuits trouées d’insomnies, s’ouvrent des portes anonymes
Que rien ne distingue du noir, excepté une réminiscence
Parasomnies et sexsomnies, comme deux rêves synonymes,
Me sollicitent en leur manoir de l’obscure luminescence.
J’y redécouvre toutes les scènes qui ont jalonné mon enfance,
Les acteurs et les seconds rôles dans des films pas très orthodoxes.
Quelques situations obscènes dans lesquelles j’étais sans défense
Et pour terminer, le plus drôle, absurdités et paradoxes.
Tableau d’Anna & Elena Balbusso.
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