


Dans ma lointaine adolescence, j’ai fait naufrage de mes rêves
Qui m’ont fait échouer sur l’île où l’utopie régnait en maître.
J’y vivais nu de connaissances naturellement sur la grève
D’une éternité juvénile et tout mon amour à transmettre.
De l’autre côté du miroir, s’ouvraient des terres innocentes,
Vierges de toute humanité, heureusement inaccessibles.
J’avais la clef dans mon tiroir, une clef d’or rajeunissante,
Qui donne accès illimité vers ces univers impossibles.
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