
Les jours se ressemblent comme un livre qui se ferme et s’ouvre sans fin
Sur la nouvelle page vierge qui ressemble à celle de demain.
Fors qu’une vision m’en délivre, entrouverte sur les confins,
Comme une porte d’où émerge un espoir à portée de main.
Et sur cette toile d’azur qui revient comme d’habitude,
Je change la réalité pour une autre éventualité.
Je jette un pont sur l’embrasure d’un rayon de béatitude
Qui transforme en sensualité les troubles de l’actualité.
Tableau de Rafal Olbinski sur https:www.tuttartpitturasculturapoesiamusica.com201104rafal-olbinski-surrealista-polacco.html .
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