
Toutes mes questions de l’hiver trouveront réponses au printemps
Comme le souci d’une nuit par l’aube est métamorphosé.
Tous les mystères de l’univers les plus ardus vont s’épointant
Lorsqu’une fleur s’épanouit sous une goutte de rosée.
J’aime quand mon cœur s’abandonne et admet la simplicité
D’une nature qui prévient comme une mère à son enfant.
J’aime lorsque se désordonne ma raison en complicité
Avec un printemps qui revient chaque année, toujours triomphant.
Tableau d’Édouard Vuillard.
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