

Tandis que la Lune s’endort et les ténèbres s’amalgament,
Tandis qu’elle se renouvelle dans un sommeil réparateur,
L’amour guette le croissant d’or, premier messager de Madame,
Dont la coiffure s’échevelle dans un halo propagateur.
Tandis que la Lune s’éveille dans son ministère lunaire,
Elle préside aux amoureux qui s’abandonnent sans remords.
Puis, au solstice, ils s’émerveillent augmentant les préliminaires
Qui, dans des gestes langoureux, atteignent la petite mort.
Tableau de Giovanni Auriemma sur https:www.tuttartpitturasculturapoesiamusica.com201110giovanni-auriemma-1976-italy-digital.html .
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