

J’ouvre la cage de mon cœur qui s’envole comme un oiseau
Dans les voies d’imagination vers des paysages inconnus.
Et je libère ainsi la peur des chats tapis dans les réseaux
Qui ourdissent des machinations pour dévorer mon âme nue.
Les informations du monde ont tendance à m’enfermer dans une cage d’oppression.
Le stress devient une prison qui empêche tout effort de création et d’imagination.
Tant que j’accepte cela, je sombre petit à petit dans l’apathie et la cage se resserre.
Mais dès que je cesse d’avoir peur, toute la création revient car elle n’a jamais été annihilée.
Tableaux d’Andrey Remnev.
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