
Elle avait perdu la mémoire, on l’appelait « la voyageuse »
Car elle évoquait des images venues d’un peu tous les pays.
Elle parlait comme un grimoire ouvert aux pages aguicheuses
Qui nous invitaient aux voyages comme enfants aux yeux ébahis.
Impression sur papier d’archivage de la peinture par Christine Peloquin.
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