

Souvent mes livres véhiculent leur lecteur vers d’autres horizons
Comme un voyage autour du monde mais de plus de quatre-vingts jours.
Et parfois certains fascicules deviennent comme une prison
Tant leurs fantaisies vagabondes m’y assimilent pour toujours.
C’est aussi grâce à Assimil, que je poursuis le don des langues
À condition d’avoir la place d’y caser ces mots étrangers.
Mais si tous les jours j’assimile des citations et des harangues,
Mon cerveau devient un atlas et ma mémoire est dérangée.
J’ai essayé la méthode Assimil pour apprendre l’allemand ; j’y suis encore, je me suis perdu dans les ruelles de la langue.
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