
Lorsque mes rêves se font cendres, je lâche prise à l’univers
Afin que de mon esprit renaisse comme le phénix du printemps.
Je laisse son âme descendre sur mon corps encore en hiver
Pour donner nouvelle jeunesse à mon cœur d’amour de vingt ans.
Et voici Mars, dieu de la guerre, debout sur son char de soleil,
Avec ses cavaliers de pluies et artilleurs de giboulées.
Alors les mémoires de naguère, des printemps que les vents balayent,
Mêlent les histoires d’aujourd’hui avec les légendes écoulées.
Tableau de René Magritte.
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