
Comme je n’arrêtais pas de grandir, j’ai fait décoller ma girafe
Du mur où elle servait de toise métrant mon essor triomphant.
Depuis, le temps a beau brandir ses ordres par le télégraphe,
La mort en reste la faux pantoise et moi je reste comme un enfant.
Tableau Zurab Martiashvili.
Laisser un commentaire