
Qu’importe l’essence des arbres pourvu que l’ivresse me prenne
Sous le charme mélancolique de la nature qui s’endort.
Cet hiver, je serai de marbre, alors il faut bien que j’apprenne
À ma matière métabolique comment conserver un cœur d’or.
Dans la forêt d’Eschenberg.
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