
Il faut venir à la nuit noire, juste quand la lune est nouvelle,
Et observer dans les reflets les petits éclats cristallins
Qui convergent vers l’entonnoir de l’onde qui se renouvelle
Par l’enchantement du soufflet qui charme l’étang opalin.
Dans la forêt d’Eschenberg à Winterthur.
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