
Dans son pavillon rongé par le sable
Il n’entendra plus la voix de sa mère.
Mais un carillon fort, irremplaçable
Qui répond au flux lointain de la mer.
Car la coccinelle suit toujours les traces
Gravées dans la nacre de sa carapace.
Chanson éternelle qui toujours embrasse
D’un souvenir acre tout ce temps qui passe.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
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