
Mon regard caresse la terre comme les courbes d’une femme
Et je mordille entre les dents tous ses fruits mûrs et défendus.
Puis, je m’y couche sans commentaire le soir quand le soleil s’enflamme
Pour y arroser l’excédent de toute ma sève répandue.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
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