
Nous étions deux, nous étions trois, puis ce fut quatre et bientôt cinq
Qui firent huit, neuf, dix, onze, douze ; et ce fut tout, finalement.
Pour ne pas se sentir à l’étroit, on se servit un peu de vin
Je laissais parler mon épouse quand ça parlait trop allemand.
Vu un pakistanais chrétien (eh oui, mes enfants, ça existe)
Qui ne savait que parler anglais et j’ai un peu tout mélangé.
« Ich bin happy to entretien, want you trinken oder isst ? »
Mes amis, pour parler franglais, il faut partir à l’étranger !
Il y a eu de jolies nanas et deux dragueurs sur le retard
Qui faisaient la conversation et pour moi, c’étaient des vacances.
J’ai pu montrer mon almanach (qui n’a pas eu trop de regards)
Mais l’expo, en compensation, fut fêtée avec élégance.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
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