L’invitée se mouille

L’invitée se mouille

Elle m’a dit : « Je prends un bain, je dois prêter attention
Vers mes racines maternelles car je suis une sirène ! »
Je n’étais point coquebin et compris que l’intention
De ses marines mamelles n’étaient qu’entrée dans l’arène.

Qu’auriez-vous fait à ma place ? Ses seins n’étaient pas de glace
Et son sourire émoussait quelques appas magnétiques.
Alors j’ôtai ma cuirasse et transformai en biplace
La baignoire qui moussait de substances érotiques.

Mes amis, je dois vous dire que, tout ce qui se raconte
Au sujet de ces vicieuses sirènes qui nous enchantent,
Sont, au-delà de vos dires, à peine juste un acompte
Sur les amours délicieuses auxquelles mon âme est penchante.

Coquebin : jeune nigaud.

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