
J’habite un tout petit immeuble dans le quartier « à la rivière »,
Au numéro soixante-dix, deuxième étage sans ascenseur.
Je respire mieux dans mes meubles retiré des lignes ferroviaires
Et je n’ai plus le préjudice de ces avions offenseurs.
On y parle toutes les langues dont en principe l’allemand ;
On y entend de l’italien et toutes sortes de jactances.
Ça forme un concert de harangues qui ne marche pas tellement.
Avec mon français pascalien, je fais un peu de résistance.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
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