
Après le chant de la sirène, quand le silence est retombé,
Et qu’elle plonge dans les abysses pour laisser reposer sa voix,
Dans son sillage elle m’entraîne comme pour me catacomber
Dans le repaire d’Anubis et suivre mon dernier convoi.
à suivre, bien sûr !
Laisser un commentaire