

Dans une ruelle en cul-de-sac, un pauvre homme était acculé ;
Il buvait son whisky cul-sec en levant bien haut le culot.
Ce cul-terreux en havresac, le cul-entre-deux-chaises, allait,
Ni peigne-cul ni pète-sec, le feu-au-cul à son boulot.
Il était devenu cul-et-chemise avec une bande de lèche-culs
Qui avaient l’cul-par-dessus tête et exprimaient leur ras-le-cul.
Un cul-de-jatte par l’entremise d’un qui pétait-plus-haut-que-son-cul,
Fit basculer les fortes têtes, les tire-au-flanc, les tire-au-cul.
« Sortez des culs de basses-fosses et arrêtez de vous casser-le-cul !
Avoir le cul-bordé-de-nouilles finit toujours en bousculades !
Frères faux-culs et culs-bénis, arrêtons là nos tape-culs,
Se casser-le-cul pour des quenouilles nous met le cul-en-marmelade ! »
Moralité : c’est à s’en taper le cul-par-terre.
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