3. La Baise Abyssale

3. La Baise Abyssale

đŸ‘©đŸ»â€đŸŠ° Laureline – Flamme abyssale
Je suis la torche qui t’avale, ma vulve s’ouvre en gouffre ardent ;
Je mouille et inonde mes cuisses, je suis une femme fontaine.
Viens m’enfoncer ta queue royale qui me brĂ»le en la regardant
Et bourre-moi pour que je puisse jouir d’une joie puritaine.


đŸ‘©đŸ» LoreleĂŻ – Vague abyssale
Je suis la mer qui t’engloutit, mon clitoris frĂ©mit de rage ;
Tu le mordilles et je gĂ©mis jusqu’à en pleurer de plaisir.
Viens me noyer de ton outil et m’arroser de pluie d’orage,
Brandis ta queue dont je frémis déjà du fruit de ton désir !

đŸ‘©đŸ»â€đŸŠ°đŸ‘©đŸ» ChƓur abyssal
Nos deux abümes t’implorent en chƓur, phallus royal, sceptre des cieux :
PénÚtre notre sanctuaire et fait ton va-et-vient céleste !
Plonge en nos trous, brĂ»le nos cƓurs, encule nos portes des dieux
Et par devant et par derriÚre, reviens, brutalise et moleste !

đŸ‘©đŸ»â€đŸŠ° Litanie de Feu
Ton phallus fend ma chair offerte, il ramone mes reins en feu ;
Je m’accroupis le cul en l’air et il te prie de l’enculer.
Ma chair ta volĂ©e a soufferte et je jouis de tous mes vƓux,
Mon cul a eu l’heur de te plaire et mon anus pĂ©donculĂ©.

đŸ‘©đŸ» Litanie de Lune
Ta queue s’enfonce en moi, salĂ©e, mes flots s’ouvrent comme des mers ;
Je suis sirÚne et tends ma bouche pour goûter le gland turgescent.
Je m’écoule en source lactĂ©e, ma chatte Ă©clate en cris pervers
Et je sens la premiĂšre couche de ton liquide opalescent.

đŸ‘©đŸ»â€đŸŠ°đŸ‘©đŸ» Litanie Cosmique
Nos deux vulves, fosses jumelles, se prosternent devant ton glaive ;
Nos orifices de vraies femelles te sont offerts en sacrifice.
Culs et clitoris, putains rebelles, se font temples pour ta sainte sĂšve
Et nous déployons nos mamelles gorgées de lait pour ton office.

đŸ‘©đŸ»â€đŸŠ°đŸ‘©đŸ» Strophe des Vulves conjointes
Nos deux chattes d’une seule flamme, nos deux culs d’un seul ocĂ©an ;
Deux clitoris et quatre lùvres chantent l’appel de ton Oracle.
Tes coups de queue sacrent nos ùmes et nos orgasmes sont bienséants ;
La fornication avec fiĂšvre est toujours un nouveau miracle.

Illustration de Luis Royo.

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