
Laureline à genoux, à nouveau sur la plage,
Aime écouter l’écume des mondes perdus.
Avec ses coquillages – un curieux assemblage –
De cailloux peints de runes et de signes ardus.
Chaque cercle une vie, chaque pierre une étape
Et l’ensemble s’adresse à la TRIAMOURIA.
Autour d’elle la brume se condense et s’échappent
Ses enfants préconçus lors de la ZÅORÉLIA.
ÉLYSÄÉ translucide chante la voix de sa mère ;
Orélion endormi ouvre à peine les yeux.
Mais dans ce mandala à portée éphémère,
Elle peut communiquer par ce rite officieux.
Illustration d’IA.
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