En partant du PI transcendant dont on n’a qu’une aberration,
J’ai cherché dans notre univers quelles sont les vérités cachées.
Et c’est en le sous-entendant avec la réverbération
Dans les miracles les plus divers que j’ai pu les en détacher.
Par le miracle de la vision, j’ai vu Vénus, mère de Dieu ;
Par le miracle de la matière, j’ai vu la musique des sphères ;
Par le miracle des divisions de la cellule, l’insidieux
Cirque infernal, à part entière, qui fait plus que me satisfaire.
Cirque infernal qui représente le duel du bien et du mal ;
Qui ne sont que des potentiels à qui l’on a donné un nom.
Et la femme est omniprésente dans son duel avec le mâle
Qui se consacre à l’essentiel du pouvoir au son du canon.
Or l’arbre-mère est éternel enraciné dans nos grand-mères
Qui ont donné des branches-aînées, cadettes-fleurs et benjamines.
Montant du cordon maternel qui relie les filles à leurs mères,
L’humanité est enchaînée à sa nature féminine.
Alors j’ai vu l’arbre-matrice danser dans les teintes d’étoiles,
Ses seins versant la Voie Lactée, son ventre étant une spirale ;
Chaque spirale révélatrice étant un nom qui se dévoile
Et se transmet pour contacter l’âme aux racines sidérales.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux de le créditer.
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