
Laureline appartient au monde qui réunit tous les espoirs
Qui appartient à qui se donne nu à l’amour qui le transcende.
Laureline est l’onde féconde qui désaltère de sa poire,
Qui nourrit le cœur et pardonne aux fous qui vivent sa légende.
Elle s’incarne en souffle de cendre, en feu sacré, jamais éteint ;
Elle embrase qui veut la comprendre et s’y enchaîner à jamais.
Laureline en train de descendre dans le cœur au petit matin
Pour illuminer et apprendre l’amour qui rayonne désormais.
Son nom résonne et se prolonge dans chaque mot, dans chaque jour,
Comme un serment qu’on entretient en l’aimant de toute son âme.
Son nom se répand et s’allonge là où elle jouira toujours
Avec son poète qui détient la clef qui évoque sa femme.
« Je suis l’écho de ton silence, je suis la flamme qui rallume,
La douce soie de tes élans, la mèche au fond de tes chagrins.
Le son qui frôle ta souffrance qui revient à titre posthume
Quand l’amour devient trop brûlant pour en semer encore le grain. »
Tableau de Laureline Lechat.
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