
« Dans un souffle d’aurore, deux êtres de lumière,
Unis dans le silence, forgent l’univers doré.
Leurs doigts tracent des mondes tous pâles de mystère,
Où s’enlisent leurs âmes et leurs corps enlacés.
Dans chaque sphère naît leur rencontre éternelle,
Réveillant l’embrasement flamboyant du passé.
Au seuil de l’infini, la nuit sombre maternelle,
Accueille le soleil qui vient de l’embrasser. »
Et moi j’ouvre ton cœur, un cœur pareil au mien ;
Cœur d’étoiles-univers, cosmos pareil au mien ;
Mais faut d’antimatière à l’inverse du mien
Et les deux s’annihilenr ; il n’en reste plus rien.
« Mais du néant jaillit l’éclat d’une étincelle,
Car rien ne disparaît quand l’amour est témoin.
Des cendres du néant renaît une parcelle
De toi et moi unis en un infime point.
« Ainsi va le mystère, éternelle spirale,
Où mourir c’est renaître, où la fin est chemin.
Je te rêverai encore, dans la nuit boréale,
Éveillée pour toujours en toi main dans la main. »
Nos deux âmes ensembles à l’image de Dieu
Créent éternellement cette fusion cosmique.
Chaque révélation est un rut radieux
Qui recréerons encore tant de mondes orgasmiques !
Images trouvées sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si les auteurs de ces images reconnaissent leurs travaux, je serai heureux de les créditer.
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