
Sur un paysage en nuances bleutées comme mon vague à l’âme,
Je vois partir un vent de juin et en revenir de juillet.
Est-il soumis aux influences qui viennent des pays en flammes
Où couvrira-t-il mes besoins pour rassurer mon cœur douillet ?
C’est le problème des vallons, souvent ça monte et ça descend…
Le calme plat n’existe pas ou ne dure pas très longtemps.
Et cet air que nous avalons rempli d’atomes incandescents
Se charge de vie à trépas de revenir chaque printemps.
Carpe Diem ce dernier jour ! Qu’il dure autant qu’une nuit d’amour !
Et qu’il laisse au petit matin l’envie de recommencer demain ;
L’envie de revenir toujours reprendre avec un peu d’humour
Cette vie de traîne-patins, de vagabond sans lendemain…
Tableau de Nancy Giffey sur https:www.artworkarchive.comprofileriver-arts-incartistnancy-giffey .
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