
La géographie de la femme l’apparenterait à une île
Aux paysages enchanteurs et aux merveilles naturelles.
Pas le moindre marigot infâme mais des montagnes juvéniles
Qui abritent des oiseaux chanteurs pour les visites culturelles.
Et des visites assez fréquentes qui attirent les jeunes mâles !
Vu que, si la femme est une île, l’homme en est son explorateur.
Et des naissances conséquentes à cette ruée animale
Pour remplacer la gent sénile par de jeunes adorateurs.
Car puisque la femme est une île, elle devient par transition
Déesse à qui l’on sacrifie les jeunes vierges pas trop malignes.
Cette comparaison débile met alors en opposition
Mes fantasmes que disqualifie mon imagination indigne.
Tous les personnages célèbres qui ont prétendu à ce titre
Se sont retrouvés simplement couverts du plus grand ridicule.
Lors de leur oraison funèbre où ils n’ont plus droit au chapitre,
On les a traités amplement de lubriques principicules.
Tableau de Pierre Lacombe.
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