Kyrie, la vache

Avec tous les fragments des feuilletons, des films et dessins animés,
Parfois j’en crée un amalgame que seule ma mémoire perçoit.
C’est comme un troisième œilleton qui viendrait y réanimer
Des notes d’une nouvelle gamme si tant est qu’il les aperçoit.

Alors la vache qui rigole regarde passer le petit train
Dans l’interlude d’une pub qui vante l’ami Ricoré
Qui se dissout dans les rigoles qui le transportent avec entrain
En le répétant comme un tube qui prétend nous revigorer.

Sur l’écran noir de mes nuits blanches, désormais j’entrevois la mire
Et j’en profite pour régler les instruments dont elle relève.
Puis brusquement une avalanche d’enfants menés par Casimir
Crève mon rêve pour m’aveugler… mais non, c’est l’aube qui se lève !

Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance.
Source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux de le créditer.

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