
Le fameux effet papillon qui déclencherait les tempêtes
N’est autre qu’une fée en cotillon à qui l’on fait tourner la tête.
Il suffit d’un petit bouton de fleur, une baie, un petit gland
Pour faire ce que nous redoutons : un violent cyclone cinglant.
Petites ailes, grands effets ; ce sont les déesses du temps
Qui décident du temps qu’il fait et ses échos répercutants.
Selon l’ivresse de la fleur, son parfum et ses sensations,
À peine les lèvres l’effleurent, qu’arrive la compensation :
Les ailes flamboient de bonheur selon la force du plaisir
Et les vents soufflent de bonne heure pour retransmettre les désirs.
Parfois le gland est animal et ses effets catastrophiques
Car l’ouragan est maximal au stade océanographique.
Illustration de Boris Vallejo sur https:www.artnet.frartistesboris-vallejo .
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