

Dans les maisons spécialisées dans la consommation de chair,
On satisfaisait les gourmets en fonction de leurs appétits.
Les produits commercialisés devaient convenir pour pas cher
Et porter les hommes au sommet pour les sortir de l’apathie.
J’imagine le chef proposer son beau gibier chassé la veille,
Son arrivage de premier choix et, pourquoi pas, son plat du jour…
L’aile ou la cuisse, il faut oser et quand on aime, on s’émerveille ;
La chair la plus tendre qui soit est celle qui complaira toujours.
Les Ziegfeld Follies sur https://lecomptoirdetitam.wordpress.com/2009/09/12/ziegfeld-folies .
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