
Entre les cornes sur la bête et les cornettes sur la tête,
Elle était sous la dépendance de toutes cornes d’abondance.
Sans doute était-elle insatiable et ce n’était pas négociable
À être bien entretenue, pension, étrennes et revenus.
Hélas le mari belliqueux tirait le diable par la queue
Et pour faire brûler la chandelle, sa femme se fit infidèle.
D’où les coiffures en cornettes et déshabillés malhonnêtes
Pour soutirer les ducatons qu’elle fourrait entre ses tétons.
Ces jours-là vous verrez la belle sortir agitant son ombrelle
Pour signifier aux prétendants qu’ils peuvent en profiter pendant
Le temps qui leur est imparti tant que le marié est parti
Mais gare à l’amant qui s’attarde si l’autre rentre par mégarde !
Tableau de Bayram Salamov sur https:valentinna.livejournal.com326369.html?style=mine .
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