Selon la teneur d’un beau rêve, le corps, étant trop bon public,
Ouvre ses pores aux phéromones et déploie ses zones érogènes.
Des mouvements furtifs sans trêve secouent de tremblements obliques
La poitrine qui s’époumone comme par manque d’oxygène.
La personne entière s’étire alors à l’appel du désir
Afin d’accorder l’ouverture, vers l’entrée du temple sensible,
Aux préliminaires qui attirent le but suprême du plaisir
Tandis qu’une main s’aventure vers l’orgasme enfin accessible.
Tableau de Zinaida Yevgenyevna Serebryakova.
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