

À l’auberge du bout du monde, aux derniers confins de la Terre,
Tous ceux qui arrivent un jour, y restent et n’en repartent plus
Car des vahinés furibondes au caractère autoritaire
Leur offrent un immortel séjour et l’éternité en surplus.
Sans doute est-ce le paradis des navigateurs solitaires
Qui cherchent à fuir le quotidien de leurs routines béotiennes.
Ce serait même une parodie, on trouverait des volontaires
Cherchant sur le plan méridien l’amour d’une jolie tahitienne.
Illustration d’Edwin Georgi.
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