
Dès l’ouverture de la chasse, la femme devient chasseresse
Et a recours à ses appas, à ses leurres, à ses artifices
Pour piéger les garçons qui passent et qui se laissent, par paresse,
Familiariser pas à pas jusqu’à l’ultime sacrifice.
La journée consacrée aux femmes n’est qu’un prétexte crapuleux
Pour pratiquer la chasse à l’homme lâché tout nu dans la forêt.
Ceux qui décrient ce sport infâme devraient s’montrer plus scrupuleux
Car ils n’sont que gibier « at home » qu’elles adorent dévorer.
Tableau d’Evgueny Makarenko – Loza.
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