
Elle, prisonnière de son corps et de sa place en société,
Ne peut que regarder derrière le chemin qu’elle a parcouru.
Tant d’efforts encore et encore pour éprouver à satiété
Le sentiment d’être en arrière, bien loin d’être un jour secourue.
Mais secourue par qui au juste à part les hommes, à part les femmes,
À moins que ne revoit sa copie ce Créateur si misogyne ?
Qu’importe, car il serait injuste de blasphémer ce Dieu infâme
Alors que l’abjecte utopie s’impute à l’homme dès origine
Illustration de Sarah-Jane Szikora sur https:www.museum-of-art.netroomswalk2817 .
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