50.000 ans après l’humanité

Depuis on n’sait combien d’années, après la mort du dernier homme,
La planète en convalescence panse patiemment ses blessures.
Oubliées les villes damnées disparues dans un maëlstrom,
Ruines frappées d’obsolescence, terres criblées de meurtrissures.

Mais peu à peu tout recommence ; l’homme n’est plus indispensable.
Les animaux coopératifs ont tous rétablit l’équilibre.
Mais point de Dieu dont la démence provoque des guerres impensables
Mais un système fédératif qui unit toutes espèces libres.

Le singe n’est pas au sommet sinon celui du cocotier ;
Personne ne craint plus les loups, on vit paisible au fond des bois.
Aucune chair n’est consommée, les œufs bannis des coquetiers
Et pour qu’il n’y ait pas de jaloux, les chiens miaulent et les chats aboient.

Illustration d’Icinori sur http://icinori.com/blog-2

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