

Bien qu’elle s’appela Sidonie, on l’appelait La Si-Do-Mi
Par son doigté inimitable et ses nombreuses ritournelles
Qui répétaient cette harmonie en arpèges « La Si Do Mi »,
Sa signature indubitable lors des célèbres pastourelles.
La Si-Do-Mi prit un mari doté d’un drôle d’instrument
Qui la poussait dans les aiguës quand l’air descendait dans les graves.
Ils eurent une fille, Marie, qu’ils élevèrent congrûment
Nourrie de notes suraiguës jouées dans toutes les octaves.
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