
J’aime les baigneuses au clair de Lune ou à l’heure entre chien et loups
Quand je ne sais si elles sont nues ou vêtues d’un maillot pudique.
Dans cette lumière opportune, j’imagine d’un regard jaloux
Qu’elles sont miennes et bienvenues dans mon eldorado lubrique.
De ma cuisine je les observe me demandant d’un air moqueur
Quel est l’impudique architecte qui a orienté mes fenêtres
Face au paradis en conserve comme un vivarium de sirènes
Qui me nourrit et me délecte jusqu’à m’accélérer le cœur !
Tableau d’Otto Mueller.
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