
En mars, la météo se couche pour pleurer ses larmes amères,
La Terre accepte son offrande de toute sa reconnaissance
En attendant qu’elle débouche orages et tempêtes éphémères
Pour devenir la Révérende Mère de toutes les naissances.
Mais quand le temps reste au beau fixe, la météo pourtant joyeuse
S’en va puiser sur l’océan les sanglots amers des sirènes
Qu’elle versera en pluies prolixes comme une manne pourvoyeuse
Et le Soleil, roi bienséant, mûrira la Terre sereine.
Tableau de Jacek Yerka sur https:postmodernism.livejournal.com464795.html .
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