
À ton calice,
Femme facile,
Je bois la vie
Jusqu’à la lie.
Mais tes pétales,
Femme fatale,
Si capitales
Me sont létales.
Mourir d’amour,
Ô bonnes mœurs !
Mourir d’humour
De bonne humeur.
Si au printemps,
Tu refleuris.
Depuis longtemps,
J’aurai guéri.
Tableau de Catrin Welz-Stein
Laisser un commentaire