
Plus gros, le tissu de mensonge, plus grand l’habit de comédie.
Plus on veut façonner la peur, plus on en coudra de boutons.
Alors je m’imagine en songe comme une sorte de parodie
Où les gens frappés de stupeur deviennent doux comme des moutons.
Plus rien après n’est ridicule et l’absurde devient quotidien ;
On nous oblige à nous masquer, on nous contraint à l’étiquette.
La résistance capitule et l’on croit les politiciens
Qui nous leurrent sans se démasquer et nous font fumer la moquette.
Illustrations des contes d’Andersen par un russe dont je n’ai su déchiffrer le nom sur https:mishka-knizhka.ruskazki-dlay-deteyzarubezhnye-skazochnikiskazki-andersenavolshebnyj-holm .
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